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Pour commencer, je vαis me présenté . Je m'αpelle Stessy et j'αi 29 αns . Je suis officielement Métisse de la GASPE METIS COMMUNITY d'origine Mi'kmaq Née le 1 septembre 1984 , et très fier d'etre née cette belle journée. Je vie en Gaspésie , mα ville, mon univers, mon αvenir, c'est mα vie ici.

mardi 3 janvier 2012

Les personnalités borderline sont difficiles à identifier : à mi-chemin entre psychose et névrose, les personnes touchées semblent complètement "normales". Pourtant certains symptômes sont visibles en particulier les problèmes émotionnels : irritabilité, anxiété, changements d'humeur et même dépression, sans compter le manque de confiance en soi etde véritables difficultés dans les relations avec les autres. Selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux américain (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders ou DSM-IV), la personnalité borderline se définit par au moins cinq des critères suivants :

Instabilité et nombreux excès ;
Forte impulsivité et prise de risque dans au moins deux domaines (sexualité, toxicomanie, conduite automobile.) ;
Instabilité affective ;
Fortes colères souvent sans raison réelle ;
Menaces suicidaires et/ou automutilations ;
Troubles de l'identité ;
Sentiment d'ennui, de vide ;
Peur d'être abandonné ;
Réactions disproportionnées au stress.

Le trouble bipolaire est une affection dans laquelle l'humeur de la personne change selon des cycles qui durent des semaines à des mois. L'humeur de la personne peut être extrêmement élevée ou irritable à extrêmement basse et sans espoir. La nature des troubles de l'humeur diffère d'une personne à l'autre. Une personne peut traverser des périodes d'élévation de l'humeur, d'humeur déprimée et des moments pendant lesquels l'humeur est normale. Les périodes d'humeur extrêmement élevée et basse sont des épisodes de manie et de dépression.


La personne qui souffre de dépression connaît aussi une fatigue intellectuelle : manque de concentration, difficulté de mémorisation, etc. On a l'impression que les pensées sont ralenties. A tel point que certains se demandent parfois s'ils ne souffrent pas d'Alzheimer : mais ces "faux trous de mémoire" cachent alors de vrais problèmes dépressifs.

Autre signe qui ne trompe pas : le ralentissement général. Le déprimé est envahi par la fatigue, il ne parle pas, il n’a pas le courage de faire les activités qu’il faisait ou de s’impliquer dans son travail ou les relations avec ses amis. Il a une impression de décalage : comme si tout le monde allait à un autre rythme que lui, n’était pas sur la même fréquence. Perte d’énergie et sensation d’épuisement accompagne cet état.



Le trouble de stress post-traumatique est un état de choc et de profonde inquiétude causé par un événement grave comme une agression sexuelle, la guerre, une catastrophe naturelle, un incendie, un accident, ou tout autre événement traumatisant que la personne vit, voit ou apprend. L’exposition répétée ou continue à des traumatismes, surtout à un jeune âge, peut accroître les chances de développer le trouble de stress post-traumatique. Il y a davantage de TSPT chez les femmes que chez les hommes.

Les premiers symptômes du trouble de stress post-traumatique se manifestent au moins un mois après le traumatisme. Chez certaines personnes, ces symptômes peuvent passer inaperçus pendant des années. Habituellement, la personne souffrant de stress post-traumatique:

Revit le traumatisme
Fait des cauchemars et pense de façon obsessive à l’événement
Adopte des comportements d’évitement (fait des efforts pour ne pas se remémorer l’événement traumatique ou évite certains lieux)
Éprouve un sentiment de culpabilité
Éprouve des sentiments de colère
Démontre de l’hypervigilance; est toujours en état d’alerte pour faire face au danger

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